TOILES DE GODARD

L’arbre découpant verticalement la toile demeure l’un des sujets familiers du peintre qui, à partir de 1988, segmente parfois complètement la composition par une forme de totem ou par une mince bande de couleur dissonante, subtilement ramagée. Les troncs se colorent de fines veines parallèles ou de nodosité transversales qui ne relèvent plus guère du végétal. 

Puis, à nouveau, Godard éprouve le besoin de pénétrer un autre univers, resurgi de ses souvenirs d’enfance : la mer. L’océan, avec ses mouvements de houle, ses bouillonnements, ses grèves, ses galets, va entrer dans ses toiles. Il y a aussi le vent et le murmure continu des vagues qui apportent une dimension sonore, éléments intraduisibles dans l’expression picturale mais qui amplifient l’importance des formes en mouvement que, pour la première fois, il va représenter ; des formes « dont il ne connaît pas encore l’architecture, mais qu’il prend toutes en bloc, tant il sent le besoin de les faire siennes ». Michel MAISON, 1992



















Sud, 1988, 150x150
Automne, Huile, 1972
Automne, Huile, 1972


Le Drapeau, 1989
Paysage, 1979
Le littoral, 1975
Paysage vertical, 1983
Composition, 1997
Sans titre, 1977
Abstraction orange 1971
Neige en montagne 1970
Paysage 1973
Trouée sur la mer
Équilibre 1988, Huile
Bord de mer 1970
Paysage 1970
Forêt 1973 
Bord de mer, Huile, 1970
Paysage 1975 Huile
Vue entre deux arbres 1971
Neige 1972, Huile
Trouée sur la mer, Acrylique
Rocher dans la mer, Huile
Bord de mer 1971
Composition 1975

Maison et arbres bleus 1975
Ciel en Vendée 1971
Neige 1973
Arbres 1971
Paysage 1970
Paysage 1971

Paysage 1974 Huile
Paysage 1971 Huile
Neige 1971
Arbre blanc 1972 Huile
Bord de mer 1971 Huile
Paysage vert 1970 Huile
Maison 1970 Huile
Paysage vert 1971
Barques 1973, Huile


Paysage breton, Huile, 1971















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